Anaérobie : Il s’agit du fonctionnement cellulaire permettant de produire de l’énergie en absence d’oxygène, par opposition au fonctionnement aérobie. Nos cellules, et en particulier nos fibres musculaire peuvent fournir de l’énergie en absence d’oxygène dans 2 circonstances :
- au début d’un effort, ou lors d’une accélération car la filière aérobie est longue à se mettre en place. L’oxygène respiré n’est pas immédiatement disponible pour les tissus musculaires. Il faut extraire l’oxygène, le transporter, et le diffuser vers les mitochondrie.
- lors d’un effort très intense qui ne peut pas être couvert par la filière aérobie dont le niveau d’intensité maximale est faible par rapport à la filière anaérobie.
En estime que la filière anaérobie peut atteindre chez les plus puissant sprinteur en cyclisme des pics de 2000 watt, alors que la filière aérobie plafonne autour de 500 watt chez les meilleurs cyclistes du monde.
On distingue au sein de la filière anaérobie 2 modes de fonctionnement en fonction des substrat énergétique utilisé :
- anaérobie alactique qui utilise les réserves de phosphagène et de créatine phosphate et qui de fait, ne s’accompagne pas d’une production d’acide lactique.
- anaérobie lactique qui utilise les réserves de sucres (glycogène) et qui en revanche s’accompagne d’une production d’acide lactique car la réaction chimique est incomplète au sein des cellules.
Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anaérobie
http://www.volodalen.com/12entrainement/acide0.htm
En rapport Entrées
En savoir plus sur Velo2max.com, de retour sur la toile !
Subscribe to get the latest posts sent to your email.