Vélocité est un terme utilisé qui renvoie à la capacité à pédaler à des intensités élevées avec des cadences élevées. Les débutant en cyclisme on tendance à vouloir augmenter la résistance de leur braquet pour accélérer, ils adoptent souvent des braquet très grand sur terrain roulant et éprouvent une sensation de confort.
Les cyclistes entrainés et experts adoptent des cadences bien plus rapide pour les mêmes intensités que les débutants. La capacité à exécuté le geste de pédalage rapidement semble le gage de l’efficacité motrice, neuro musculaire et énergétique. Pourtant, à faible intensité (100 à 200 watt), il est prouvé que l’on consomme moins d’oxygnène et d’énergie avec une cadence de pédalage autour de 60 tours minutes qu’avec une cadence autour de 90 tr/min. Ce mécanisme d’économmie énergétique n’est vrai qu’a faible intensité, mais il s’accompagne aussi d’une participation anaérobie plus importante et d’une fatigue neuro musculaire plus rapide. Ce sont probablement les raisons qui incite naturellement les cyclistes experimentés à adopter des cadences qui consomme un peu plus d’oxygène, mais qui en contrepartie préserces les réserves énergétiques, le potentiel anaérobie et le niveau de fatigue neuro musculaire.
Ne pas confondre : vélocité et vitesse maximale de pédalage. La première nous renvoie plus à l’endurance gestuelle, la coordination et la seconde à la puissance maximale.
Etre véloce à faible intensité ne garantie pas qu’on le sera à haute intensité. Il n’est pas rare d’observer des cyclistes qui s’entraine pendant des semaines à pédaler autour de 100 tour minutes en endurance (Intensité 2), mais qui en sont incapable dès qu’on leur demande de produire un effort en intensités 4, ou 5. Or plus l’effort que le cycliste doit fournir est important et plus la cadence de pédalage efficace et élevée.
Un cycliste est véloce s’il est capable de pédaler à des cadences élevées lorsques l’effort est intense.
Etre plus véloce n’est pas un indicateur de performance suffisant pour apprécier du niveau de performance.
La vélocité se développe par une amélioration de la coordination inter et intra musculaire dans 1 er temps et par une modification du fonctionnement énergétique musculaire dans un second temps.
Le facteur limitant de la vélocité trouve plus son origine dans les habitudes d’entrainement que dans des paramètres d’ordres génétiques.
Evaluation :
Test Force / Vitesse : Pour évaluler les propriétés musculaires on utilise un test sur lequel il s’agit de sprinter avec des résistances de plus ne plus difficiles. Ce test permet d’évaluer le niveau de force maximale, de vitesse de pédalage maximale, et indirectement de la capacité à être véloce. En effet, on peut être capable d’atteindre sur un sprint de quelques secondes une cadence de plus de 200 tr / min mais ne pas pouvoir tenir 110 trm sur un effort à PMA.
Observation : on mesure les cadences naturelles adoptés par le cyclistes dans différentes conditions : test PMA en cote, test PMA sur terrain roulant, montée de col, sprint etc…. les cadences observées peuvent permettre de donner des recommandation personnalisées en terme de cadences de pédalages. Un cycliste effectuant un test de PMA en cote à moins de 70 tr / min à besoin de développer sa vélocités sur les intensités seuil et PMA
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